12 thoughts on “Enemy Zero (1997 – Survival Horror – Sega Saturn)

  1. Salut Rick. Je viens de recevoir le jeu. Jolie boîte avec plein de CD-ROM inside. ^^ Mais comme j’ai peu de temps pour jouer en ce moment, je me demandais… Tu dis qu’il y a des checkpoints et des points de sauvegarde assez espacés… Et limités ? C’est à dire ? On commence le jeu avec X points de sauvegardes et on ne pourra uniquement sauvegarder que X fois ? C’est ça ? Du coup il vaut mieux s’aménager de longues sessions de jeu ? Ou peut-on y jouer par petites touches d’une heure par ci, une heure par là ?

    Merci !

    1. Coucou Oli. La chance, j’aimerais aussi l’avoir en boite celui-là !
      Oula, alors, aucun checkpoint dans mes souvenirs, et les points de sauvegardes se font au score. En gros, tu joues, tu gagnes des points, et pour sauvegarder, il faut dépenser ses points. Et vu qu’on meurt souvent, surtout au début (vu qu’on ne se repère qu’au son, qui nous indique si l’ennemi est devant nous, derrière nous, ou sur les côtés), ça s’annonce compliqué. Mais tu peux tester, voir comment tu gères, si les petites sessions sont possibles pour toi. Moi j’ai fais de plutôt longues sessions, car j’étais à fond, et vu la difficulté, voilà quoi ^^

      1. Merci pour les infos. Encore un petit truc : tu as sauvegardé en moyenne toutes les… 10, 15, 30 minutes ? Juste pour avoir un ordre d’idée…
        Concernant la version Saturn, j’ai été surpris de voir les prix. Plusieurs centaines d’euros en anglais ! Mais 100 ou 200 yens d’occasion en version japonaise. ^^

        1. Oula, je ne sais plus. Je vérifierais mes sauvegardes quand je serais rentré chez moi pour te dire ça, ça devrait me donner une bonne indication.
          La version en anglais est très rare et très cotée oui, pour ça que je ne l’ai fais qu’en émulateur celui-là. Je n’étais déjà pas sûr d’aimer, et je ne mettrais pas 100 euros dans un jeu (même des jeux que j’adore en méga collector, c’est non). Le Japon semble être une terre promise pour ce qui est des jeux rétro de manière générale non ?

  2. Oui, même si c’est plus cher qu’avant quand même. En un clic je commande un jeu rétro, il arrive presque de suite, aucun problème avec la poste (jamais), état très convenable en général, etc.

    Ne t’embêtes pas pour le timing des sauvegardes, pas de souci. Je me ferai ma propre idée tout seul, sans filet, et c’est peut-être mieux ainsi d’ailleurs. 😉

    Merci pour les infos, pour le review et pour m’avoir fait découvrir ce jeu – que j’espère aimer, au fait !

    1. Rah me parle pas de la poste ! Entre mes précommandes repoussées à Juin voir plus, les colis en retard, et un paquet que j’attend des states envoyé début Mars et qui n’est toujours pas là….

      Oui remarque, ça te fera clairement la découverte. Ça peut paraître un peu brut de décoffrage au début hein, mieux vaut malgré tout prévenir. On a connu plus « family friendly », même pour l’époque.

      J’espère que tes retours seront bons.

  3. Alors voilà. Après plus d’une heure de jeu… J’adore l’ambiance, ça fait peur, c’est super dans l’ensemble. Mais c’est quand même un peu trop sadique à mon goût. ^^ Chaque sauvegarde coûte des points. Certes. Mais quand on meurt, pour recharger sa sauvegarde ça coûte aussi des points ! Ça, c’est abusé je trouve. Parce qu’en plus on a entre les mains le pire flingue de l’histoire de la SF ahahah ! Si ça se trouve je ne pourrai pas aller au bout en mode normal… Au pire je relancerai ma partie en easy (plus de points pour sauvegarder).

    Je regrette pas du tout de m’être lancé dans l’aventure. Je trouve ça juste un petit peu trop « punitif » pour le moment. Peut-être que ça va s’arranger par la suite ?

    1. Ah content que tu aimes l’ambiance. Le pari de faire peur avec une créature invisible, c’était quand même un pari hyper risqué, et ça fonctionne en effet.
      Je ne me souvenais plus que recharger une sauvegarde après une mort coûtait également des points. Mais si ça peut te rassurer, j’ai terminé le jeu en normal, donc c’est faisable. Vu que tu as la patience avec tous les jeux rétro que tu fais (je suis petit joueur à côté haha), je pense que tu vas y arriver. Attention après tu auras envie de tester les autres jeux du développeur, à savoir D (que j’ai détesté) et D2 (que j’ai adoré haha).

      1. Eh bien ça y est Rick, j’ai terminé ENEMY ZERO. Beaucoup aimé la première heure… Puis j’ai détesté. Alors je ne t’en veux pas hein 🙂 Je suis malgré tout content de l’avoir fait. Mais pour moi il y a des trucs qui ne passent pas. Limiter les sauvegardes et le nombre de chargements de sauvegarde OK. Mais alors il faut proposer un jeu avec une maniabilité parfaite. Là ce n’est pas le cas. Mouvements hasardeux, flingue le plus nul de l’univers (je suis mort tellement de fois même à la toute fin à cause de sa latence), des labyrinthes illisibles avec des ennemis invisibles dedans (!!!!), un long passage vers la fin où on descend, on descend, on se tape plusieurs labyrinthes SANS POUVOIR SAUVEGARDER… J’étais fou.

        Comme je l’ai précisé plus haut, je suis malgré tout content de l’avoir fait. J’ai un certain respect pour ce jeu qui a osé l’impensable, et qui a assumé jusqu’au bout.

        1. Heureusement que tu ne m’en veux pas, sinon je peux toujours te faire un virement de 200 yens haha !
          J’avais prévenu que c’était mine de rien assez spécial. Pour la difficulté, je la vois quand même un peu dans le contexte de son époque, il y avait pas mal de jeux qui ne pardonnaient pas. Sans doute pas jusque là (pour les points pour charger une sauvegarde) il est vrai.
          Tu l’as terminé en easy du coup ?
          Les jeux de ce développeurs sont toujours comme ça, ils assument leur côté assez osé jusqu’au bout, ça passe ou ça casse. Pour ENEMY ZERO c’est passé pour moi, alors que je m’étais royalement emmerdé sur le premier D (facile, court, mais pas intéressant j’ai trouvé), avant d’aimer D2 sur Dreamcast. Ces oeuvres ont quelque chose d’attachant, sincère. Je trouve en tout cas.

  4. Oui je l’ai fini en easy. Mais même en easy j’ai trouvé la difficulté atroce. J’ai même dû « tricher » à la fin. Il ne me restait presque plus de points (9 je crois). Et je n’arrêtais pas de mourir dans l’un des innombrables labyrinthes qui précèdent le « boss ». Du coup j’ai fait une copie de mon fichier de sauvegarde interne sur ma cartouche. Puis j’ai retiré la cartouche (sinon le jeu refuse de se lancer normalement). Bien sûr je suis mort plein de fois, reset de la console, j’insère la cartouche, je copie la save dans la mémoire interne, je retire la cartouche, je relance le jeu, etc. J’ai réussi à finir le jeu comme ça. Atroce ahaha. J’en pouvais plus. Et j’ai utilisé YouTube pour des labyrinthes. Autrement je m’en serais jamais sorti. Tu l’as fini tranquilou toi ?

    RESPECT !

    1. Il y a clairement des petits pics de difficultés (bon, vu ton appréciation générale, on va dire des « gros » pics).
      Oh je ne connaissais pas cette technique ! En émulateur forcément je n’aurais jamais pu le faire.
      Tranquilou, je n’irais pas jusque là hein, j’ai ragé sur un ou deux moments, donc oui, le labyrinthe. Surtout qu’en ce moment, je rage beaucoup plus facilement sur les jeux si j’en crois les dires de certaines personnes qui m’entendent parfois insulter les jeux haha ! Mais je n’ai jamais atteint ton stade de raz le bol, même sur la fin ^^ Donc je rage, mais je garde patience.
      En parlant de tout ça, je suis sur les Uncharted que Sony a offert à tout le monde avec le confinement, et je me dis que je n’aurais sans doute pas la patience de tester les difficultés les plus hautes sur aucun des trois premiers titres. Ou alors on risque de m’entendre crier de l’autre bout de la ville 😀

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