5 thoughts on “SOLO : A STAR WARS STORY de Ron Howard (2018)

  1. Pour moi, il n’y aura jamais qu’un Solo, et autant te dire qu’on ne le voit pas dans ce film. Appelons ce truc un remake, un ersatz, une pale imitation, avec une lumière de film indé des beaux décors et une scène de train bien fichue (ce qui constitue l’essentiel voire l’intégralité du « reste ») mais surtout du mauvais et aussi du pas très bon cinéma. En tous cas, pas quelque chose de digne de Star Wars, faut être honnête. Tu t’en prends à juste titre à l’épisode 8 qui se prend une ma Dale sérieuse à la revoyure, mais j’ai peur que cllz de ce film du mediocre Howard (rappelle moi qui a réalisé le DaVinci Code ?) soit redoutable. En terme de rythme, d’epique, de création d’univers, je me demande si « la menace fantôme » n’est pas meilleur.

      1. Par contre promis, je prévois beaucoup mieux dans mes prochaines chroniques, j’ai pu voir quelques petits films Russes sympas récemment, des petits drames Canadiens que personne n’a vu, et un hommage au giallo splendide visuellement et musicalement 😉

    1. Et voilà, le film déchaîne les passions et les fautes de frappe se glissent dans le récit… euh le commentaire 😀
      Non mais je suis tout à fait d’accord, ça n’arrive pas à la cheville des originaux, ni même de la prestation d’Harisson Ford. On peut même dire que c’est un simple blockbuster sans âme, qui n’essaye même pas d’avoir un côté artistique. Mais qui m’aura diverti sur le moment. Par contre oui, le choix de la lumière très typée indé, j’avoue que ça m’a un peu choqué pour ce genre de film, j’ai pas trop compris. Heureusement que je l’ai regardé tard dans le noir sinon j’aurais pu croire que c’était ma TV qui rendait l’âme tellement certains moments paraissent sombres.
      Après on en arrive au gros débat, sur ce qu’est ou pas Star Wars. Finalement pour moi les deux meilleurs sont Le 5 et 6, là où Lucas n’était pas réalisateur, et même pas scénariste d’ailleurs. Quand il a fait ce qu’il voulait, ça a donné les épisodes 1, 2 et 3, pas fameux donc. Maintenant qu’il n’est plus là, c’est le scénariste de L’Empire Contre Attaque qui est de retour depuis le 7, mais ça coince aussi. Compliqué au final, tout le monde a un peu apporté à l’univers, mais on a peut-être simplement fait le tour, je sais pas.
      Pour l’épisode 8 je n’avais pas voulu le descendre trop à sa sortie malgré ma grosse déception (les 2 arcs inutiles, des moments bien WTF), mais la revision à la maison fut assez fatale. Si je devais retoucher ma chronique de l’époque, là il prendrait cher.
      Ron Howard d’ailleurs, je l’ai pas vu beaucoup de choses de lui au final. Dans ma lointaine jeunesse, Splash, Cocoon et Willow, mais je ne suis fan d’aucun, et ça a du vieillir. Backdraft aucun souvenir, Apollo 13 également. Et ces films post 2000, à part ce Solo, j’admets que j’ai fais l’impasse sur tout, souvent par manque d’intérêt (oui, DaVinci Code et ses suites).
      Le seul point où je ne suis au final pas d’accord, c’est le rythme. Malgré un coup de mou sur la fin, je trouve Solo plutôt rythmé, comparé à la prélogie qui se perds dans des débats politiques aussi intéressants que les chaînes du Sénat (oui je suis méchant, mais La Menace Fantôme étant le premier Star Wars vu au cinéma, la déception fut grandiose).

      1. Le précédent Howard que je me suis laissé tenter était Rush, plus ou moins soutenu par de bonnes critiques. Même résultat que Solo : des scènes de course bien faites, mais une conduite du récit assez pauvre. Heureusement, là les acteurs assuraient.
        Dire que Howard a quand même tourné devant la caméra de Don Siegel avec John Wayne, James Stewart et Lauren Bacall!

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