2 thoughts on “DEMONIA de Lucio Fulci (1990)

  1. Je suis bien d’accord avec toi : passé « l’éventreur de New York » (peut-être un de ses meilleurs paradoxalement), Fulci perd tous ses moyens (dans tous les sens du terme). Ce que j’en ai vu en tous cas (La malédiction du pharaon, Aenigma), c’était pas brillant. Si je comprends bien, celui-ci ne relève pas beaucoup le niveau. Nonne troppo pour moi.

    1. J’attend de voir en terme de giallo Le Venin de la Peur de Fulci que j’ai commandé pour pouvoir faire enfin un bilan sur sa période thriller/giallo à laquelle il revient quelque peu dans l’Éventreur de New York (avec un côté gore hérité de ces quelques films précédents). J’ai toujours eu un petit faible pour Frayeurs, mais le fait que ce soit le tout premier Fulci que j’ai découvert doit jouer pas mal et me faire manquer un poil d’objectivité.
      Par contre La Malédiction du Pharaon… je n’ai jamais pu écrire dessus, car même si j’ai le dvd depuis plus de 10 ans, je m’endors à chaque tentative, je n’ai toujours pas vu la fin… Mais en 1990, Demonia est, avec House of Clocks (qui est un poil supérieur) ce que Fulci aura fait de mieux dans sa dernière partie de carrière. C’est bien meilleur qu’un Aenigma et ses escargots tueurs…

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