5 thoughts on “LE LOUP-GAROU DE LONDRES (An American Werewolf in London) de John Landis (1981)

  1. « N’allez pas dans les landes, restez sur la route ! » Culte, génial, novateur : le film qui – avec le « Hurlements » de Joe Dante – a fait entrer le loup-garou dans la modernité, tout en rendant hommage à ses racines gothiques. La fameuse séquence de la transformation fait partie de ces moments qui vous marquent à vie (la progression, les détails, la souffrance, le réalisme). Gamin, j’étais impressionné. Aujourd’hui, je le suis toujours. Et puis, il y a cet équilibre miraculeux entre horreur et comédie. Du grand Landis. Rien à voir avec l’embarrassant « Loup-garou de Paris »…

    1. Oh je suis toujours impressionné aujourd’hui, après je ne sais combien de visions en 20 ans voir plus.
      D’ailleurs, amusant, mais le fils de John Landis, Max, devait réaliser un remake/relecture/film se déroulant à côté (les infos que j’ai trouvé hier soir ne sont pas hyper claires), sauf que scandale cette année dans la veine de Weinstein et compagnie, du coup projet plus ou moins avorté à moins que quelqu’un d’autre prenne la barre.
      En ce qui concerne sa fausse suite à Paris, j’en ai un très douloureux souvenir avec son loup tout en CGI lors de sa première diffusion sur Canal +. Jamais reposé mes yeux sur la bête depuis, pas forcément tenté, même sous la torture ou la menace… Quoi que…. j’ai bien vu toute la saga Hurlements, donc à ce stade au final…

  2. Je crois que je n’ai jamais autant ri que lorsque David essaie de se faire arrêter par la police !
    Excellente chronique, comme d’hab, je me sens pousser les poils tout d’un coup.

    1. Je sens que tu vas te faire une petite vision du film (again) prochainement 😉 Un film que je ne me lasse pas de revoir, j’en arrive même à chanter les nombreux morceaux à force.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *