4 thoughts on “NOWHERE GIRL (東京無国籍少女) de Oshii Mamoru (2015)

  1. Oshii, c’est forcément pour moi. Et je suis ravi de lire que, comme moi, tu avais aimé « Avalon » (et tu ne parles pas de « Sky crawlers » que j’avais également bien apprécié). La lenteur est son credo, porte d’entrée vers une métaphysique parfois abstraite. Je peux comprendre qu’elle déroute, mais le spectateur ne doit-il pas parfois concéder à faire quelques efforts ?
    Chouette article (et photos) qui donne envie.

    1. J’avais beaucoup aimé Avalon à sa sortie, mais pas revu depuis, je ne sais même plus où j’ai bien pu mettre le dvd. Au pire, moment de voir si un Blu-Ray n’existe pas pour profiter au mieux des images 😉 Sky Crawlers, pas vu tout simplement (honte à moi je sais).
      Mais je suis à 200% d’accord avec toi. C’est du cinéma exigeant, qui demande des efforts, mais du coup qui sait aussi nous récompenser.
      Bon courage en tout cas pour voir le film, comme je disais à un ami sur twitter ce matin, j’ai du voir le film en dvd Japonais sans sous titres (vive les quelques connaissances en Japonais et le peu de dialogues du film).

      1. Ma fille s’est mise au japonais récemment, j’aurai au moins un peu de traduction.
        Blague à part, ce doit être assez frustrant de voir le film en laissant échapper une partie des dialogues. Ce qui m’impressionne d’autant plus car il semble néanmoins t’avoir séduit.

        1. Ah ben voilà, plus qu’à le regarder avec elle !!! Sauf si elle s’endort devant 😉
          Disons que je suis assez habitué à regarder des films Japonais sans sous titres, à une époque j’étais très attiré par leur cinéma, et comme 80% ne sort jamais hors de chez eux, j’ai beaucoup acheté de dvd import là-bas (en me ruinant, tu t’imagines pas les prix….). Et à force d’en voir, avec ou sans sous titres, la langue a finit par rentrer. Si ça reste relativement simple, je parviens à comprendre (sans les subtilités bien entendu). Après, un gros drame bien bavard sans sous titres, je ne tenterais pas. Mais du cinéma relativement silencieux comme là ou du cinéma d’exploitation pur et dur, aucun soucis.
          Et dans le cas de ce Nowhere Girl, il m’a totalement séduit. Plus que l’intrigue ou les dialogues, il y a une atmosphère, une douceur avec la bande son constituée de musiques classiques, quelque chose d’hypnotique dans tous ces travellings qui racontent quelque chose.

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