2 thoughts on “THE POOL (นรก 6 เมตร) de Ping Lumpraploeng (2018)

  1. Le technicien d’un clip coincé au fond de la piscine, un crocodile en petit pull marine, et Luc Besson qui est parti boire un verre pendant six jours (il a entendu des voix, il est parti tourner Jeanne D’Arc). De base, j’avoue que suis moyen tenté. C’est vrai que ces petits dispositifs minimalistes permettent aux réals de déployer des trésors d’ingéniosité de mise en scène, mais il faut quand même avoir un scénario bien bâti pour cela. Ça n’a pas l’air d’être le cas, la malchance qui « n’en démord pas » ne suffit pas en effet.

    1. Le genre du survival animalier (celui qui se veut réaliste, pas le nanar/comédie nanarde/navet en mode Syfy ou Asylum) a finalement toujours été plus ou moins un genre minimaliste, dans son propos et son décor. Mais quand ça marche, c’est aussi ce qui fait sa force, ce propos resserré, cette économie de moyen au service de l’efficacité. C’était le cas pour Aja et son Crawl aussi finalement. Et là The Pool, les avis étaient souvent positifs. La preuve qu’il faut souvent voir le film et se faire son propre avis !

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