4 thoughts on “INUNAKI : LE VILLAGE OUBLIÉ (犬鳴村) de Shimizu Takashi (2019)

  1. Oui il est pas trop mal ce film – le final dans le tunnel est complètement raté on est d’accord. Les gens qui veulent le descendre, ils peuvent, bien sûr. C’est facile. Moi je pense qu’il faut aussi s’attarder sur les points positifs de ce bon petit film de J-horror. Et savoir s’en contenter sans attendre le chef d’œuvre du genre.

    1. Le pire passage, et il insiste tellement dessus, frontalement, en faisant durer les plans, c’est dommage, car au delà de ses quelques égarements (fatals pour un simple spectateur, beaucoup moins pour un amateur, cinéphile ou fan du genre), c’est pas mal du tout, pour ça que j’ai préféré en dire pas mal de bien.
      Il faut que je revois maintenant son précédent, je l’avais vu il y a un an ou deux ans mais pas écris dessus.

  2. Shimizu s’en sort mieux que Nakata semble-t-il avec le temps.
    J’aime beaucoup cette idée de village disparu qui réapparaît à la faveur d’un rituel. C’est très japonais, il y a du potentiel. Sur les photos ça a l’air quand même très low budget, ça donne moyennement envie.

    1. Je trouve clairement. Il est moins subtil que Nakata lorsqu’il est bon, mais parvient toujours à éviter le ridicule qui tue, alors que Nakata les a parfois enchaîné, limite un film sur deux.

      Les villages étranges, avec leurs rituels et mythes bien à eux, ça m’a toujours attiré aussi. Je fonce souvent tête baissée dés qu’il y a un sujet du style. Aucune idée par contre du budget du film, mais visuellement, en mouvement, j’ai pas trouvé ça si moche. Le début filmé par les personnages avec une petite caméra avec son grain dégueulasse par contre, ça m’a rappelé les débuts de Shimizu avec les téléfilms JU-ON, que j’adore.

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