8 thoughts on “VAMPIRES de John Carpenter (1998)

  1. Oui, ça aurait pu être mieux, ce n’est pas dans le haut du panier Carpenter, mais ça fait partie des films qui se situent juste en-dessous. Je l’aime beaucoup quand même.
    PS : il y a eu une suite avec Bon Jovi en DTV…

    1. Je l’aime beaucoup aussi, mais voilà, quitte à choisir, je préfère quasi tous ces autres films (sauf GHOSTS OF MARS et L’HOMME INVISIBLE, quand même, faut pas pousser). Faut dire que la carrière de Carpenter c’est quand même du très lourd.

      Et je dirais même plus que je crois qu’il y a eu deux suites en DTV ! Mais jamais osé en mater une seule.

  2. Je l’ai pas revu depuis des éternités, et pourtant il est dans ma liste. Il vient même de repasser dans le peloton de tête après lecture de ton article. Je suis d’ailleurs globalement d’accord, le souvenir de la séquence initiale supplantant l’histoire qui suit, intrigue vaticane et croix de Beziers compris. Dans mon souvenir c’est l’adaptation d’un roman que je n’ai jamais lu (Vampire$). Ça pourrait ettr l’occaz.

    1. Et voilà, un article qui te donne envie de voir ou revoir un film de plus. Mais n’oublie pas qu’avant, tu as STEAK qui t’attends haha.
      Et oui tu fais très bien de le souligner, mais c’est en effet une adaptation, mais je crois très différente. D’ailleurs, le nom, « Vampire$ », je crois que c’est le nom de la société qui tue les vampires dans le bouquin. Mais ce serait une belle curiosité à lire c’est vrai.

  3. Revu hier soir, avec toujours autant de plaisir. LA réplique du film revient à James Woods qui lance au prêtre qui veut se suicider pour empêcher le rituel « vas-y fous-toi de sa gueule ! » Elle me fait plier de rire à chaque fois.
    Pas senti de longueur dans le second acte, j’ai même été surpris d’arriver si vite dans la fille fantôme à la fin. Par contre, le dénouement et l’affrontement final contre Valek sont clairement bâclés. manque de moyens sans doute. Dommage.
    Bien aimé la « romance » de mon côté entre Montoya et la prostituée. J’assimile ça d’ailleurs plus à de l’assujettissement (vampirique), comme une revanche de la fille sur le mec qui la battait au début du film.

    1. Pour moi il y a clairement des longueurs. Elles ne m’empêchent pas de profiter du film (dans le sens où des films ou tu veux appuyer sur la touche accélérée, il y en a, mais pas là), mais comparé au reste de la filmo de Big John, quand même. Mais voilà, comme pour l’affrontement final un peu bâclé (ou expéditif plutôt ?), je pense que les coupes de budget au dernier moment a dû y jouer un rôle important. Mais voilà, rien que pour James Woods et sa répartie légendaire, faut le voir, faut le savourer à chaque fois 😀
      D’ailleurs, c’est cool que tu déterres cette review, car je viens de préparer un autre Carpenter souvent jugé mineur pour la semaine prochaine ici haha.

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