RED ROOM (赤い部屋) de Yamanouchi Daisuke (1999)

RED ROOM

Titre original : Akai Misshitsu: Kinda No ôsama Geemu – 赤い部屋
1999 – Japon
Genre : Horreur
Durée : 1h08
Réalisation : Yamanouchi Daisuke
Musique : –
Scénario : Yamanouchi Daisuke

Avec Kitasenju Hiroshi, Nagamori Sheena, Ookawa Mayumi et Tsukamoto Yuuki

Synopsis : Quatre personnes se retrouvent enfermés dans une pièce afin de participer à un nouveau jeu télévisé, dans le but de gagner 10 millions de yen. Ils doivent jouer aux cartes pour déterminer qui sera le roi, et celui-ci décidera de ce que les autres feront, pour faire quitter les joueurs du jeu.

Red Room, un autre petit film japonais peu connu, dont les amateurs de bizarreries devront se tourner vers le zone 1 pour découvrir le film avec sous titres anglais. Le réalisateur, Yamanouchi Daisuke, a depuis fait Red Room 2, une année après. Avec un postulat de départ très simple, une histoire absente, et un lieu unique, il parvient non pas à faire monter une quelconque tension, mais à nous faire passer un excellent moment. Dans un premier temps, nous faisons, après une séquence pré-générique inutile se retrouvant plus loin, la connaissance des quatre participants du fameux jeu. Ils sont tous les quatre, dans une petite pièce, et se présentent devant la caméra. Un homme et trois femmes (en apparence !). L’homme est le mari d’une des participantes. Ils ne savent pas grand-chose du jeu, et ont même des doutes quant à la vérité sur le prix. Rapidement, le jeu commence enfin. Les personnages sont dans une petite pièce, assis autour d’une table, et jouent aux cartes. Les cartes représentent le roi, et le numéro des joueurs. Ainsi, celui qui aura la carte du roi donnera ses ordres, concernant deux concurrents, en les nommant par rapport aux numéros, sans savoir de qui il s’agît. Concept qui, vous l’aurez comprit, se présente sous la forme d’une critique de la télé réalité, dont les émissions polluent de plus en plus nos écrans.

Mais le film n’est pas vraiment une critique sociale, puisqu’il empruntera plutôt le chemin de la folie, de l’humour noir, du gore, du déjanté, et cela pour le plaisir des spectateurs regardant ce genre de film. Les différentes épreuves du film vont commencer très doucement, comme le ferait n’importe qui participant à une émission de ce genre. On évalue les possibilités de jeu, on se lance timidement, et quand les adversaires se font de plus en plus coriaces, on commence à perdre le contrôle de soit. Red Room va exactement dans cette direction. Cet aspect du jeu sera d’ailleurs très présent dans le personnage de l’homme, autant dans ses réactions faces aux épreuves qu’on lui inflige, ou encore dans les épreuves qu’il inflige aux autres. Les épreuves, parlons en, puisque à par le postulat de départ, le film ne possède pas vraiment d’histoire, même aucune, et le seul intérêt repose dans ces épreuves. Elles seront très axées sur les humiliations et le sexe. Ça commence très gentiment, avec des bisous entre femmes, un ligotage sur une chaise que l’on fait tourner pendant cinq minutes…des épreuves gentilles et surmontables, quoi que désagréables pour certaines d’entre elles. Mais les personnages vont rapidement s’apercevoir qu’il faudra redoubler de cruauté pour gagner. La folie les gagne rapidement, et les petits jeux gentillets se transforment en jeux cruels, allant de plus en plus loin dans le dégoût, sans pour autant dégoûter le spectateur, grâce au point de vue abordé par le metteur en scène. Ainsi, les épreuves qui suivront iront plus loin : avaler de l’urine, tabasser sa propre femme, ou encore tenir 3 minutes avec un sécher cheveu en marche dans la bouche. Rien de bien sanglant pour le moment, mais la folie gagne petit à petit le récit.

Rapidement (surtout vu la durée du film, une heure), le spectateur va s’apercevoir que les personnages vont s’autoriser quelques débordements allant à l’opposé des règles du jeu. Et aucune sanction ne leur sera appliquée. Erreur dans le scénario ? Certainement. Grosse erreur pour le film ? Absolument pas, ce genre d’incohérence ne gène en rien le récit et le plaisir éprouvé par le spectateur durant la vision. Car les épreuves vont être de plus en plus vicieuses, tout en restant majoritairement autour du thème du sexe, et les débordements sanglants vont arriver, à coups d’accessoires particuliers : ampoule, tournevis… En raconter plus serait dévoiler beaucoup trop de l’œuvre. On en ressort content d’avoir assisté à un spectacle fun et décomplexé, sans tabou, tout en regrettant un peu que le film ne soit pas allé encore plus loin, ce que la suite fait peut être.

Les plus

Fun
Court
Pas mal d’idées

Les moins

Fauché
Assez vide passé son idée de départ

En bref : Malgré des maladresses, le film remplit son contrat : c’est fun et barré, et on en attendait pas vraiment plus.

12 réflexions sur « RED ROOM (赤い部屋) de Yamanouchi Daisuke (1999) »

  1. Comme tu le dis au début de la critique, heureusement qu’il existe des éditeurs étrangers (merci unearthed films) qui osent distribuer ces films !

    Même si Red Room est court, le temps passe très vite tellement c’est captivant. La scène de l’ampoule est excellente !

    Un petit film comme je les aime. :p
    D’ailleurs c’est celui-ci qui m’a fait découvrir Daisuke Yamanouchi ! Depuis, je recherche désespérément d’autres films en DVD tel que Muzan-E, Kyo vs Yuki mais c’est très compliqué.

    1. Oui, même si apparemment chez Unearthed Films ce ne sont pas des tendres… j’ai été en contact avec Andrey Iskanov et Alexander Schevchenko (l’équipe de Nails, Visions of Suffering) et apparemment, quand il s’agît de payer les droits au réalisateur après les ventes, il n’y a plus personne….
      Je suppose que tu as vu RED ROOM 2? Il faudra que je le critique aussi, je l’ai trouvé moins bon, trop farfelu sur la fin. J’ai une copie assez dégueulasse et je crois bien sans sous titres de KYO VS YUKI, mais je tenterais pour la curiosité.

      1. Oula ! Je ne connaissais pas ce côté plutôt salaud (en restant poli) chez Unearthed Films. Ce n’est vraiment pas cool. Comme dis le dicton, ils veulent le beurre, l’argent du beurre et la crémière ! … Un jour ou l’autre, ça va se retourner contre eux.

        Nails et Visions of Suffering ahhhh !! Encore deux achats toujours prévu dans ma longuuuueeee liste)

        Of course !!! Je n’ai pas voulu en parler car j’attendais ta critique. Au premier visionnage, je pensais comme toi mais après le second, j’ai trouvé cool que Daisuke Yamanouchi part dans un délire totalement différent, il évite un peu le réchauffé et, à peu près, le même schéma du 1 ! Même si j’avoue avoir justement une préférence pour the first !

        Ah la chance pour Kyoko vs Yuki. A un mùment, une version était disponbile aux enchères sur ebay mais il s’agissait d’une version bootleg et vu le prix, j’ai hésité, hésité et renoncé ! Je le regrette un peu maintenant.

        1. Oui j’ai flippé en lisant tout ça, c’est le réalisateur (Andrey donc) qui faisait même circuler à ses contacts le contrat et des documents et tout… Je n’ai jamais eu le fin mot de l’histoire, si finalement il avait eu gain de cause… Mais ça fait peur pour les petits réalisateurs indépendants comme lui (dont je fais partis un peu….)

          Je préviens, c’est très spécial, perso j’adhère, mais c’est spécial. Préférence pour NAILS qui passe tout seul avec sa très courte durée (une heure).

          Je me referais des bouts de RED ROOM 2 et j’écrierais un petit quelque chose dessus. À part la direction que je n’avais pas accroché, je n’en ai pas de grands souvenirs en fait.

          Je te dirais pour Kyoko VS Yuki, après, à mon avis, ce n’est pas non plus excellent de ce que j’ai vu. Enfin, c’est une curiosité intéressante. En tout cas pour ce weekend, tu devrais trouver en ligne February 29 (un film de fantômes Coréen que je n’ai pas aimé) et Nightmare Detective 2 de Tsukamoto, ainsi que peut-être un troisième, je verrais.

  2. Ah oui quand même ! J’espère qu’ils ont eu gain de cause car même si ce sont des réalisateurs indépendants, ils doivent être traités de la même manière que les plus connus car, souvent, leurs travail méritent le respect !!
    Maintenant, je vais vraiment réfléchir à deux fois avant d’acheter un DVD de chez Unearthed films ou alors j’essaye de le chopper à petit prix. Surtout que « Evil Dead trap 2 » me faisait de l’oeil !

    Tu réalises des films ? C’est cool ! J’espère qu’ils penchent du côté horrifique. :p

    Pas de problème, j’adore ce qui est spécial ! Et je m’intéresse encore plus à « Nails » et « Vision of suffering » maintenant !

    Cela ne m’étonne pas pour « Red Room 2″. Il y a surtout un élément qui ‘surprend ». Enfin tu reverras quand tu en auras l’occasion !

    Voilà pourquoi je ne souhaite pas dépenser énormément pour « Kyoko vs Yuki » car je pense être un peu déçu si je l’achète à prix fort. Il y aura bien une bonne affaire un jour enfin … j’espère !!

    Nightmare Dectective 2 de Shinya Tsukamoto !! YEAHHHHHH ! Jusqu’à présent, toutes les critiques que j’ai lu sont élogieuses ! Le premier m’avait réellement surpris. Je suis ultra fan de se réalisateur depuis Tetsuo (comme beaucoup) !! Vivement ta critique !!!!!

    1. Je lui demanderais le fin mot de l’histoire 🙂
      Pour EVIL DEAD TRAP 2 (que je n’aime pas en plus), je viens de vérifier mon DVD, ce n’est pas une édition Unearthed films mais Japan Shock, peut-être anglaise, il doit exister donc deux éditions (aux pochettes différentes donc).

      Et oui je fais des films aussi à côtés, jusque là un long qui m’aura ruiné (un drame désolé lol. Avec Sasha Grey), un film d’horreur et un film space encore en montage, et quelques courts métrages.

      Oui je le remet dans mes priorités car de toute façon, je n’en ai pas un assez bon souvenir pour écrire dessus comme ça.

      Et bien écoute, NIGHTMARE DETECTIVE 2 aura un 17/20, je pense que cela te donne un indice. TETSUO refait avec un ami le weekend dernier, toujours aussi bon, toujours aussi wow.

      1. Ah oui, avec plaisir ! J’aimerais savoir la situation de l’histoire car je ne souhaite pas enrichir des escrocs.

        Hey ! Sasha Grey, son seul « vrai » (:p) film que j’ai vu est « Smash Cut ». Simple, efficace ! Girlfriend experience me tente bien également.
        Sans penser à sa carrière d’actrice porno, elle a l’air vraiment sympa et marrante ! Est-il est possible de se procurer ton film ?
        Ah bah voilà, un film d’horreur ! C’est bon ça ! Quelle est l’histoire ?
        Tu as quand même de l’expérience dans la réalisation, c’est excellent ! Peut-être suis-je entrain de parler au futur Kiyoshi Kurosawa ? (yeah !) ou Michael Bay ? ( hu hu hu …… joke of course !)

        C’est clair ! Tetsuo : Impossible de s’en lasser !

        1. Oui c’est clair, malgré les raretés, et le catalogue, ça me fait chier aussi tout ça….

          SMASH CUT m’a bien fait délirer, je remet bientôt ma critique ici, je l’avais noté 13. Bien marrant. THE GIRLFRIEND EXPERIENCE est trèèès différent, du pur drame expérimental et contemplatif, beaucoup se font chier dessus je préviens (mais j’adore moi, enfin le film, pas me faire chier lol)
          Elle est super sympa, très douce et adorable, elle sait te mettre en confiance (j’avais peur au début, car elle est connue, j’avais des à priori sur mon anglais…) mais elle est adorable, patiente, et avec une culture de cinéma énorme également. J’ai du fermer ma société, donc actuellement, le seul moyen (à part les petits malins qui vendent d’ocaz à 32 euros sur le net vu la rareté), c’est de me demander gentilment mdr.

          Un film d’horreur sur une équipe de reporters dans les souterrains parisiens qui tombent sur un tueur en série. Ça dure même pas une heure, on a galèré, mais c’est je pense sympa.

          Hahahaha, je doute d’avoir le talent de Kurosawa, ni les moyens de Michael Bay :p Mais je fais ce que j’aime dés que je peux, et ça n’a pas de prix ça.

  3. Cool ! Hâte de lire ta critique de « Smash Cut ». 13 est une bonne pour ce film.
    Merci, c’est bon à savoir pour « The girlfirend experience ». Je pense me laisser tenter à son achat un de ces quatre.
    Je marche souvent par période, comme pour la musique. En ce moment, je suis plus à fond Giallo (tout en faisant ma réserve de DVD V-cinema) donc j’arriverais sûrement à une période contemplatif.
    Il n’y a pas de soucis, si tu aimes te faire chier (cette phrase a deux sens, un crade, l’autre moins mais je pense que la tienne était pareil :p), il n’y a pas de soucis ! Chacun ces loisirs ! lool

    Tu m’étonnes ! Je me serais chié dessus la première fois que je l’aurais vu donc je te comprend ! C’est peut-être con mais j’étais sûr de ton opinion sur elle. Elle dégage quelque chose (je ne sais quoi) qui donne envie de la connaître car elle n’a pas l’air prétentieuse ! (encore une fois, je ne me fie pas à carrière d’actrice porno hein !) En plus elle aime le cinéma ? Mais épouse là !!! lol

    Ah mince ! C’est dommage que ta société n’existe plus. Mais as-tu distribué beaucoup de films ?
    Waow ! Il a une bonne côte sur le net ton film. Est-ce qu’il est possible de savoir le non de ton film ?
    Bon je ne suis pas méchant donc ça va le faire … :p

    Excellent l’histoire de ton film ! Simple, efficace, j’adore ! N’empêche, ça doit être dur de réaliser un film.

    Exact, tant que tu fais ce que tu aimes, c’est le plus important !!! Il faut jamais se forcer pour les gens (comme beaucoup de nos jours) Au moins, tu n’auras de regrets.

    1. Bon je tenterais de la mettre en ligne ce soir alors, juste un peu de mise en page, et peut-être de nouvelles captures si mes anciennes ne sont pas assez nombreuses, good en 10 minutes. Oui, et honnêtement, ça ne vaut pas plus que 13, mais je me suis pas ennuyé, j’ai rigolé, oui parfait.
      Oui pareil, c’est par période. Là depuis quelques mois, j’ai bouffé du cinéma HK par exemple, donc là je me calme un peu et me tourne vers d’autres horizons, d’autres pays.
      MDR! Non mais moi non je ne me fais pas chier devant, il y a quelque chose qui me parle et que je trouve fascinant dans le film :p
      Dis toi qu’à son arrivée le premier jour, je stressais tellement que paf, nuit blanche, je suis arrivé deux heures en avance à l’aéroport en me disant « merde je vais dire quoi? Je lui serre la main? Je lui fais la bise? Je parle direct du projet? » Au final elle est arrivé avec son fiancé, elle m’a vu, a couru vers moi et a sauté dans mes bras. Je crois que ça m’a rassuré direct. Elle n’est pas prétentieuse ou rien, elle était juste content d’être là et de faire le projet malgré le budget ridicule, le système D total par moment (4 techniques de prises de sons différentes, j’ai fais fort, d’où des variations que je trouve personnellement très gênantes…). Mais on a fait le film, en écoutant les idées des autres, en essayant et improvisant de nouvelles choses (j’adore l’impro, parfois je peux limite jeter le scénar et tout changer à une scène :p ) Elle adore le cinéma, on pouvait parler de Miike et autres. Du coup je lui avais passé des dvd que j’avais en double (Ichi the Killer et Suicide Club haha).
      En France les taxes sociétés sont énormes, même si tu ne gagnes pas assez….. Donc bon… Au bout d’un moment, même si tu veux continuer, il faut savoir s’arrêter. Je l’ai fais en début d’année, je ne pouvais plus survivre sinon. J’ai distribué un seul film en DVD, je prévoyais de sortir le film d’horreur ensuite avec quelques courts métrages divers (de 2 à 13 minutes) dessus, mais plus de société à ce moment là. Mais j’ai toujours une association et compte continuer avec, surtout pour distribuer mon troisième film que je pense le plus abouti (et le plus barré dans son histoire). Mon film avec Sasha s’appelle « Life », le film d’horreur « Underground ». Il y a quelques bandes annonces sur youtube je crois. Life: http://www.youtube.com/watch?v=LaC5lQQY7CA Underground: http://www.youtube.com/watch?v=ivHAZhnsom0 Death & Rebirth: http://www.youtube.com/watch?v=GP__a31uhR4
      Dur, et surtout quand tu as peu d’argent, il faut aller super méga vite! Filmer le film d’horreur fut un marathon, et le suivant également (une semaine seulement pour le suivant, qui fera 1h30….)

      1. Tout simplement génial ce que tu m’as raconté sur Sasha Grey ! Comme quoi les gens qui ont des préjugés sur les actrices X sont vraiment des cons !
        Je n’en reviens pas que tu es réussi à l’embaucher pour ton film. Même quand je regardais la bande annonce, je me suis dis : Incroyable !! De plus, au vu de celle-ci, elle a l’air de vraiment prendre son rôle à coeur.
        Purée, tu lui as filé du bon. J’adore Suicide Club. Pour Ichi the Killer, de même of course. ^^

        Excellente tes bandes annonces ! J’ai vraiment adoré. C’est vraiment dommage que tu ne comptes pas distribué « Underground ». Enfin, ce n’est pas vraiment ta faute non plus.
        En effet, tu es parti vraiment dans l’original avec « Death & Rebirth » ! L’histoire a l’air vraiment bien.

        Outre le temps comme tu as dis, il est vraiment plus difficile de réaliser un film ! Il y a une dizaine d’année, j’avais commencé à écrire le scénario d’un film, j’étais ultra motivé ! (dans le genre horreur bien entendu) mais avec le temps, je me suis rendu compte qu’il fallait plus que de la motivation.

  4. Oui totalement. C’est un choix qu’elle a fait que je respecte totalement, qu’elle en fasse ou pas ne change pas personnellement ma vie, et bon, je n’ai pas à juger en même temps. Je trouve limite ça courageux comme choix.
    Tu sais, quand j’ai lancé mon projet, mon équipe n’y croyait pas non plus, et ça a demandé deux mois de travail, de négociations et tout. Pour finalement l’avoir, donc une petite victoire dont je suis fier ^^
    Oui, deux films que j’adore aussi et qu’elle n’avait pas vu, donc autant en profiter pour le coup ^^

    Hehehe merci beaucoup, ça fait toujours plaisir. Si je peux en tant qu’association seulement, je les sortirais tout de même ^^ J’aime faire des choses différentes à chaque fois on dira, mais après coup, le film a des thématiques assez proches de chez Cronenberg, notamment dans certains dialogues 🙂

    Il faut de la motivation, et avoir quelques personnes sur qui tu peux compter à coup sûr… Je me suis souvent fait lâcher par des acteurs (un projet d’horreur en 2011, jamais achevé), voir même voler un film (un projet en 2006)… Depuis, je suis clair dés le départ, comme ça, y a que les motivés qui restent. Mon prochain prévu pour un tournage sur Limoges, j’ai que les motivés (avec qui j’ai déjà bossés), un scénario même pas finit, quasi aucun dialogue. Le scénario est le plus simple, mais il faut savoir rester réaliste vis-à-vis de ces moyens et de son entourage, et du temps que l’on a.

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