8 thoughts on “HELL GIRL (地獄少女) de Shiraishi Kôji (2019)

    1. Oh y a pas photo, entre Perfect Blue (le film animé hein, car il y a eu aussi un film live et c’était catastrophique même si plus proche du roman) et Jigoku Shôjo, ça ne joue pas dans la même cour. Mais le réalisateur a une carrière intéressante et souvent attachante, il adore en plus les légendes urbaines, c’était un sujet en or pour lui. (tiens, je sais quoi regarder cet aprem, PERFECT BLUE, mon blu-ray est encore sous cellophane).

      1. Vu au ciné, mais jamais revu depuis, la honte !
        Je suis toujours passé à côté de la belle édition en me disant : « il va falloir que je me le prenne celui-là » et puis a chaque fois, hop, passé à autre chose…

        1. Ah moi j’ai sauté dessus, je sais que l’Asiatique monte énormément vite de prix en France. Même si bon, y a une édition toute simple donc je pense que tu es safe pour ce film ceci dit.
          Par contre la chance de l’avoir vu au cinéma, je ne l’avais vu qu’en location à l’époque, puis édition collector HK Video, puis Blu-Ray (d’ailleurs, reçu Phase IV avant hier, enfin).

            1. Bon, vu l’économie actuelle, je te comprend. Perso l’édition est très jolie en tout cas, je vais me refaire le film demain et en profiter pour voir la fin alternative (de 18 minutes quand même).

  1. Je l’ai vu. Sans surprise, je n’ai pas aimé – mais je suis conscient de ne pas être la cible de ce genre de long métrage (que je n’aurais jamais osé voir si Shiraishi n’avait pas été derrière la caméra), sans doute destiné aux jeunes adolescentes ? La jpop ou death metal goth pour ado est horrible à écouter, certains acteurs sont vraiment pas bons (celle qui joue Sanae), chantent mal (difficile de croire au talent de Sanae justement), quasiment aucun personnage attachant (sans rire on est supposé se prendre d’affection pour la fille qui donne un coup de poing à une pauvre prof ?), la Jigoku Shojo ne fait que passer c’est dommage, ça manque d’enjeux… Enfin bref, on doit bien manger, Shiraishi le premier, c’est normal qu’il accepte ce genre de contrat.

    1. Comme je le dis, je connais un peu l’animé que le film adapte (enfin, vraiment un peu, j’ai vu la saison 1, sur 4). Je regrette clairement que Shiraishi (il signe aussi le scénario, même s’il a sans doute eu les mains liées par la production) ne soit pas allé à fond dans certains thèmes qui sont clairement dans le support de base. Des choix moraux plus graves et adultes, et une vraie mythologie derrière Enma Ai (son passé qui était révélé en fin de saison 1 était clairement le meilleur passage). Mais je n’ai pas détesté, il y a quelques bonnes scènes quand même je trouve, la mise en scène n’est pas mauvaise non plus. Mais c’est lisse et visant un jeune public oui. Je te rejoins pour tout ce qui concerne la musique par contre (alors que l’ost de l’anime, je l’écoute de temps en temps).

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