4 thoughts on “TUER N’EST PAS JOUER (The Living Daylights) de John Glen (1987)

  1. Je me demande si je l’ai vu celui-là. Il doit entrer dans ma période floue avec James Bond. J’avais pris mes distances avec les Bond Dalton et Brosnan, autant par méfiance que par principe. Mais ton papier élogieux m’invite à un rapprochement d’urgence. Je le mets sur ma liste.

    1. Ah, ce sont justement mes préférés les Dalton ! Je te conseille les deux par lui, et avec Brosnan Goldeneye est très bon (les autres non).

        1. Ah oui, on en reparlera à ce moment là. J’aime beaucoup Goldeneye. C’est pas parfait, mais l’humour est léger, l’intrigue j’aime bien, puis Sean Bean meurt deux fois, c’est génial ça (non là je déconne, c’est pour la blague). Pour moi, de Tuer n’est pas Jouer à Goldeneye, ce sont trois de mes Bond préférés.

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